lundi 29 décembre 2014

Décès d’une fille victime de viol et de brûlures

Une petite fille du nom de Zeinabou Mint Abdellahi ould khtara  de nationalité mauritanienne est décédée suite d’une grave brûlure que les criminels lui ont fait subir après l’accomplissement du viol. Il y’a de cela quelques jours la victime avait déclaré à la police qu’elle a été violée et brûlée vivante par un groupe de 3 malfaiteurs. 
Cette bande avait kidnappé la fille pour la séquestré prés d’une école privée  à Arafat après la commission du viol ils ont brûlé  la fille. Après cet acte ignoble  le procureur de la république et les cadres de la police se sont rendu sur les lieux pour constater la situation de la fille. Malheureusement les efforts des médecins de l’hôpital national n’ont pas abouti au sauvetage de la vie de cette victime à cause des graves brûlures qu’elle avait subies.
L’AFCF déplore cette situation des criminels qui restent en liberté, nous réclamons leurs arrestations immédiates, réclamons  une enquête sérieuse qui permettra leur arrestation et leur traduction en justice pour l’abject crime qu’il on commit sur un enfant.

vendredi 26 décembre 2014

Condoléances sélectives

La présidence de la république a délégué une importante délégation conduite par la ministre des affaires sociales pour aller présenter des condoléances officielles au nom du président et du gouvernement à la famille de la petite Zeineb Mint Kaber, violée puis brûlée vive dimanche 21 décembre 2014 par un groupe de délinquants composés de trois repris de justice qui opèrent dans le quartier d’Arafat. L’arrivée de la délégation gouvernementale a coïncidé avec l’arrestation des assassins de la petite Zeineb. Depuis ces cinq à six dernières années, Nouakchott est régulièrement secouée par des crimes d’une sauvagerie jamais égalée, même dans les capitales africaines et mondiales réputées les moins sûres. En 2013, l’assassinat de Penda Sogué a défrayé la chronique dans tout Nouakchott. Quelques mois après, la petite A. Gaye qui n’a que deux ans a été violée puis tuée par un maçon de la famille. Chaque fois, la police réussit en quelques jours à mettre la main sur les criminels. Contrairement à la famille de la petite Zeineb, celles de Penda Sogué et d’A. Gaye n’ont eu droit à aucune condoléance officielle. Le président et son gouvernement n’ont jamais pensé à leur envoyer le moindre responsable pour partager leur peine et leur exprimer leur solidarité. Dans leur logique, les citoyens ne se valent pas tous ou quoi ? Même dans la mort, les citoyens de Mauritanie ne semblent pas encore égaux aux yeux de leurs gouvernants.
Source: Le Calame (Mauritanie) 

mardi 23 décembre 2014

السادية تحتفل في نواكشوط


شاهدت قبل فترة الفيلم المثير للجدل "120 يوما في سدوم"للمخرج الإيطالي باولو بازوليني، ذلك الفلم المليء بالسادية والاستمتاع بإذلال الانسان عبر سلسلة انتهاكات للأجساد والروح،المغرق في تقدم تفاصيل أبشع صور الإهانات وطرق التعذيب التي يمكن أن تتخيل،فقد تسبب ذلك الفيلم في اضراب نفسي لصانعيه،لكن كنت أقول أن هذه مجرد سينما سوداوية ولا يمكن للفعل البشري أن يصل لتك الدرجة من البشاعة،إلا أنه فيما يبدو كنت في حالة من الهروب من الواقع لأنه أشد صعوبة من ما يأتي في السينما التي تعجز كثيراً عن رصده بل تجمله أحياناً،المهم، تذكرت ذلك الفلم ومشاهده القاسية وأنا أتابع أخبار قيام مجموعة من المتحولين من البشرفي مقاطعة عرفات-العبارة أيضا تأتي في إطار رحلة الهروب- باغتصاب طفلة تسمى زينب في العاشرة من عمرها ولم يكتفوا بذلك بل قاموا بحرقها في تجلي قذر للنفس البشرية الشريرة.
ماتت الطفلة زينب وتركتني تحت الصدمة رغم أني وصلت مؤخراً لقناعة أنه لم يعد شيء يفاجئني في هذه الأيام،تركتنا الطفلة والعار يلتحف أجسادنا وروحنا،فلم نستطع حمايتها في طريقها إلى محظرة تدريس القراَن،تركتنا وغادرت عالمنا السادي النتن،فهل سنقوم بالتكفير الضئيل عن خطيئتنا ونأخذ لها حقها من القتلة ومن فرض في حمايتها عبر فشله الأمني الذريع؟
الطفلة زينب لم تكن الأولى ولن تكون الأخير في سلسلة الاغتصاب البشعة،فقبل فترة تم اغتصاب الطفلة خدي توري التي ثرنا مطالبين بمعاقبة المجرمين لكن لم يحدث شيء،وهي طفلة أيضا في السادسة من عمرها،وقصتها بشعة أيضا وكلما تذكرتها أشعر بالغضب،وتسرح بي الذاكرة إلى حديث جمعني بعنصر من أمن وزارة" العدل"،حيث قال لي لماذا أنتم غاضبون هذا قضاء وقدر!، كأنه ليس من حقنا الغضب من الأفعال البشعة وهو أمر يوضح مدى استخفاف الأمن بأرواح المواطنين،حدث ذلك حين تجمهر الشباب الغاضب المتشنج أمام باب الوزارة مطالبين بالعمل الجاد لمعاقبة المجرمين وتغيير القوانين المتعلقة بالاغتصاب،فقمت بالرد عليه في لحظة ساخرة وغاضبة،وقلت له : "اعتبر هذا التجمهر الغاضب قضاء وقدر أيضا".

واليوم نحن أمام تحدي اَخر،يحتم ضرورة العمل والنضال الجاد من أجل وضع حد للمجرمين والمتحولين من البشرومعاقبتهم بما يستحقون، والنضال حتى نغير القوانين حتى تلائم العقوبة الجناية المرتكبة،وكذلك فضح الفشل الأمني،فأجساد المواطنات ليست هبة للذئاب البشرية.

mardi 16 décembre 2014

Viol au fin-fond du desert: Bir Mongrein

Cette petite localité se situe dans un coin isolé dans le désert à la frontière entre la Mauritanie et l’Algérie. Cette zone désertique est quasi-inhabitée, les habitants sont quelques nomades et les unités de l’armée qui sont en principe chargée de sécuriser les populations du nord.
Malheureusement, certains éléments mènent une vie de bandits de grand chemin. Au cours du mois passé Mme AA âgée de 25 ans a été violée par quelques uns de ces éléments égarés qui se servent des services du délinquant Gawad. En effet, Gawad a demandé à AA de l’accompagner vers la maison où les 4 éléments de la garde nationale vont commettre leur forfait. A la suite du viol, la fille souffre de graves crises psychologiques que certains qualifient de folie. Le père de la victime, a porté plainte contre les violeurs de sa fille ; mais le procureur de la république a renvoyé le plaignant.
Dans les agglomérations rurales et lointaines, les femmes sont à la merci des délinquants civiles et militaires qui profitent du laissez aller de notre justice.

vendredi 12 décembre 2014

Violences faites aux femmes : Le CSVVDH réclame une loi criminalisant les viols

 "TOUS ENSEMBLE POUR UNE LOI CRIMINALISANT LES VIOLS DES FILLES ET FEMMES." C’est sous ce slogan que le  comité de solidarité avec les victimes des violations des droits humains en Mauritanie (CSVVDH)  a célébré  cette année cette journée les 16 jours d’activisme contre les violences faites aux femmes qui s’est déroulée du 25 novembre au 10 décembre. Cette année  la manifestation a conduit les membres du CSVVDH dans les wilayas du BRAKNA et du Trarza où il a été question de sensibilisation sur les droits des femmes à travers la vulgarisation des outils et mécanismes fournis par la  législation nationale et internationale. Le  10 décembre coïncidant avec la fin de cette campagne de 16 jours et célébrant à la fois la journée internationale des droits humains deux actions ont été menées par le Comité dirigé par Lalla Aicha Ouedraogo.
Il s’agit d’une communication suivie de débat sur les formes de violences faites aux femmes en particulier le viol des filles et femmes en Mauritanie, ainsi que  les meilleures manières de les prévenir ou d’y faire face et du paraphe d’un voile orange par tous les participants à l’activité à Nouakchott pour symboliser leur adhésion à la protection des femmes et au refus des violences faites aux femmes.
Ce voile,  symbole de la protection et de la pudeur des femmes en Mauritanie, a été accroché au mur et y restera jusqu'au 20 décembre au FONADH pour recevoir les signatures des personnes sensibles et prêtes à accompagner  la campagne de lutte contre le viol qui prend de l'ampleur dans le  pays.
Dans sa communication Madame Lalla Aicha a indiqué que « la violence à l’encontre des femmes et des filles demeure la violation des droits humains la plus répandue à l’échelle de la planète. » Poursuivant que partout cette violation menace les droits, la santé, la qualité de vie, voire la vie de femmes, la Présidente du CSVVDH a requis l’adoption par les autorités d’une loi criminalisant les viols des filles et des femmes en Mauritanie.
C’est dans ce même esprit que, Présent à la journée aux côtés des femmes, Khaly Diallo, activiste des droits de l’homme et coordinateur de « La Marmite du partage » a exigé que « des mesures fermes soient prise par la justice afin que des meurtriers multirécidivistes comme ceux qui ont violé et assassiné Penda Sogué, le jeune femme de 20 ans tuée il y a un an à Nouakchott, ne soient jamais plus graciés. » Selon lui, les meurtriers de la jeune femme avaient bénéficié de mesure de grâce présidentielle. Il a par ailleurs appelé les femmes à plus de courage face aux situations dont elles pourraient être victime et surtout à assumer le combat sans attendre d’être devant les faits accomplis.

AFCF : 3879 sur 4606 conflits conjugaux réglés


L’AFCF a célébré le 10 décembre la déclaration universelle des droits de l’homme dans son centre situé à Arafat.  Ce fut l’occasion pour Salimata Sy, coordinatrice de projet à l’AFCF, de rappeler aux participantes les grands  axes de cette déclaration.  Dans le même temps un hommage a été rendue à la présidente de l'AFCF Aminetou Mint El Moktar qui a été classée parmi les personnalités influentes de l'année par Jeune Afrique. Cette année l’AFCF a inauguré la campagne annuelle « 16 jours d’activisme contre les violences basées sur le genre. »
Elle a décliné la thème retenu pour la campagne cette année. A savoir : De la paix à la maison pour la Paix dans le Monde.
Au niveau de l’AFCF ce slogan prend forme selon Madame Sy dans le credo passer à l'action pour mettre fin à la violence sexiste et le militarisme. Autrement dit il ipmporte pour les militantes derappeler  les droits consacrés par les différentes conventions, la législation nationale et de faire un aperçu sur la situation des femmes en Mauritanie. Cette situation, dans son versant négatif correspond à des chiffres hallucinants mais sur lesquels l’AFCF a pu avoir une maitrise en termes de gestion de conflits entre autres actions. Ainsi «  4606 conflits conjugaux ont été enregistrés cette année. 3879 ont trouvé une solution a l’amiable et 169 restent pendant devant des tribunaux. » A rappelé Salimata Sy lors du lancement de la campagne le 25 novembre passé. Selon elle on enregistre un taux 49% de divorce suite notamment à des s mariages arrangés. « Les violences morales restent le quotidien des femmes tellement qu’elles sont  banalisées au niveau de nos sociétés. » A-t-elle regretté.
Pour rappel, c’est l’assassinat le 25 novembre de 1960 des trois sœurs Mirabal, militantes politiques dominicaines, qui fut la principale raison ayant  conduit la République dominicaine à proposer cette journée de lutte contre la violence faite aux femmes. En 1993, l'Assemblée générale des Nations Unies a adopté la Déclaration sur l'élimination de la violence à l'égard des femmes et  a défini le terme « violence à l'égard des femmes » : « tous actes de violence dirigés contre le sexe féminin, et causant ou pouvant causer aux femmes un préjudice ou des souffrances physiques, sexuelles ou psychologiques, y compris la menace de tels actes, la contrainte ou la privation arbitraire de liberté, que ce soit dans la vie publique ou dans la vie privée » Le 17 décembre 1999, l'Assemblée générale de l'Organisation des Nations unies a proclamé le 25 novembre Journée internationale pour l'élimination de la violence contre les femmes. L'ONU a invité les gouvernements, les organisations internationales et les ONG à organiser des activités pour sensibiliser le public au problème de cette journée comme une célébration internationale.
source: www.kissimadiagana.blogspot.com

mercredi 10 décembre 2014

L’Association des Femmes Chefs de Famille(AFCF) : L’Etat piétine les droits de l’Homme

A la veille du 10 Décembre 2014, journée mondiale des droits de l’homme, plusieurs militants et militantes des droits de l’homme croupissent dans les geôles de notre pays qui se déclare un Etat de droit. A la même période, d’autres militants et militantes sont sous la menace d’assassinat du terroriste Yehdih Ould Dahi qui déclare haut et fort qu’il va décapiter et crever les yeux de Mme Aminetou Mint Moctar Présidente de l’Association des Femmes Chefs de Famille(AFCF) ainsi que d’autres militants. En plus de l’emprisonnement arbitraire, l’Etat mène une farouche et sournoise campagne d’intimidation à l’encontre des militants et militantes des droits de l’homme, par le biais de ce terroriste. En effet, ce dangereux terroriste a menacé, dans les medias et les réseaux sociaux, les militants et militantes des droits de l’homme qui ne renonceront jamais à leur combat pour la justice et l’égalité dans notre pays. Malgré, les plaintes déposées par ces victimes, Yehdih Ould Dahi n’a jamais été interrogé par nos autorités judiciaires qui reconnaissent, en aparté, qu’il est au dessus des lois nationales et les conventions internationales ratifiées par notre pays et par conséquent, la police ne peut l’interroger au sujet de ses dangereuses déclarations qu’il ne cesse de répéter. Plus que cela, il revient au mois de novembre pour confirmer, sur les écrans de la télévision El Watania, sa volonté de massacrer toutes ces personnes et incite au vandalisme et la vindicte populaire contre elles.
Par contre, les paisibles militants des droits de l’homme sont à la merci du pouvoir qui peut les arrêter à tout moment et selon l’humeur du jour. Parmi les nombreuses illustrations de cette mauvaise volonté, nous citons les plus récentes , notamment, l’ arrestation, au cours du mois de novembre passé, de Mr Biram Dah Abeid, militant des droits de l’homme et Président du mouvement antiesclavagiste IRA-Mauritanie que le pouvoir refuse, sans raison valable, de reconnaitre. En fait, le Président Mr Biram voyageait au Sénégal, via la ville de Rosso et ce voyage a coïncidé avec de paisibles manifestations organisées par le mouvement qui conteste la chaotique gestion du foncier, dans cette zone agricole très convoitée. Cette contestable gestion porte de sérieux préjudices aux droits des populations autochtones qui refusent de se soumettre aux diktats de ces usurpateurs. En plus du refus de permettre à ces militants d’exercer des actions de lutte contre l’injustice institutionnalisée, programmée et exécutée, le pouvoir a mis aux arrêts Mr Biram et un groupe de militants des droits de l’homme. Quelques semaines après ce Hold Up juridique, l’Etat continue à piétiner les droits des militants, en omettant, volontairement d’arrêter le terroriste Yehdih Ould Dahi qui bénéficie tranquillement de certaines aubaines. Nos policiers ne peuvent pas se présenter chez lui, de crainte de perturber l’une de ses nombreuses noces qui sont financées par des personnes proches du pouvoir qui usurpent et dilapident l’argent du contribuable mauritanien. L’AFCF condamne, vigoureusement, toutes ces injustices qui portent une grave atteinte à l’image de notre pays, mettent en péril les droits de tous les citoyens et la cohésion sociale de notre pays. Nous rappelons que la gestion inéquitable et inique du foncier, surtout agricole, est l’une des principales causes de conflits sociaux dans notre pays. En prévention des effets néfastes de ces injustices qui perdurent, nous exigeons la libération immédiate de tous les militants des droits de l’homme, notamment, Biram Ould Abeid, Brahim Ould Bilal, Marieme mint Cheikh, Saad Ould Louleid et tout le groupe qui croupit en prison. Nous réitérons toute notre solidarité avec tous ces militants, injustement, emprisonnés. Nous nous engageons à continuer la lutte jusqu’à la traduction en justice du terroriste pour tous les crimes qu’il ne cesse de commettre. Pole de Communication de l’AFCF

mardi 9 décembre 2014

Aminetou Mint El Moctar classée parmi les quinze défenseurs des droits de l'homme qui ont marqué 2014 (Jeune Afrique)

La présidente de l’Association des Femmes Chefs des Familles, Aminetou mint Elmoctar, vient d’obtenir une énième consécration. Elle est considérée par le magazine Jeune Afrique comme une figure parmi les quinze défenseurs des droits de l'homme qui ont marqué l’année 2014 (Jeune Afrique) Aminetou est une femme engagée et sans concession face au déni de droit. Elle est depuis plusieurs décennie au service du faible et de l’exclu dans une Mauritanie de dictature et de violation des principes fondamentaux de la dignité humaine.
« Aminetou Mint El Moctar, milite pour la défense des droits de l’homme en Mauritanie, et se bat contre toutes formes de discrimination, notamment envers les femmes, à travers son Association des femmes chefs de famille. Le 6 juin 2014, elle a notamment été la cible d'une fatwa prononcée par le dirigeant d’un courant islamiste radical mauritanien dénommé Ahbab Errassoul (les amis du prophète), la qualifiant d'infidèle. (DR) Lire l’article sur Jeune Afrique »: http://www.jeuneafrique.com/Article/ARTJAWEB20141204185817/droits-de-l-homme-denis-mukwege-radhia-nasraoui-khadija-ryadi-diaporama-hommage-quinze-d-fenseurs-des-droits-de-l-homme-qui-ont-marqu-2014.html

Kidnapping : Une mauritanienne maintenue en captivité seize ans durant et tenue pour morte refait surface

Une jeune femme mauritanienne considérée morte depuis 1999 est réapparue après seize ans de captivité, tient «mauriweb.info» de sources concordantes. La jeune femme avait disparu dans des conditions mystérieuses en Côte d’Ivoire. De fausses informations avaient conclu à sa mort d’une fièvre hémorragique dans ce pays.Elle aurait été traînée dans ce traquenard par une compatriote mauritanienne qui lui aurait conseillé de commercer entre la Côte d'Ivoire et la Mauritanie. La victime faisait au même moment son commerce entre le Sénégal et la Mauritanie. Considérée comme ensevelie dans ce pays, sa famille avait fait son deuil sans avoir pu récupérer sa dépouille. Mais dans la réalité, elle aurait été maintenue en captivité par un "sorcier" ivoirien qui l’aurait kidnappée avant de l’emmener dans un village coupé du monde. Elle a du sa réapparition à l’aide de l’un de ses compatriotes qui l’a rencontrée par un heureux hasard. Elle lui a raconté sa mésaventure. Les investigations du mauritanien auraient permis de tirer la jeune femme des griffes du sorcier. source:mauriweb